vive la vie !

Un petit rappel, Monsieur le président. Jusque-là vous n'avez tenu que des promesses qui avantagent les plus riches...
"Je veux, si je suis élu président de la république, que d'ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid.
Parce que le droit à l'hébergement, je vais vous le dire, c'est une obligation humaine. Mes chers amis, comprenez-le bien : si on n'est plus choqués quand quelqu'un n'a pas de toit lorsqu'il fait froid et qu'il est obligé de dormir dehors, c'est tout l'équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix qui s'en trouvera remis en cause."

(Le candidat Sarkozy dans un discours le 18/12/2006)

Image trouvée chez Le Galuchat,  allez voir ses dessins d'actualité

 

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[…]       
        Cantona soupire, rappelle, un peu agacé, ses origines sardes et espagnoles, avant de servir une de ses formules maison :    « Être français, est-ce que c'est parler français, chanter la Marseillaise et lire la lettre de Guy Môquet ? (Silence) Non, ça c'est être con. Être français, c'est être révolutionnaire. »
        C'est pour cette raison que Canto est persuadé que « ça va pas finir comme ça », qu'il s'agisse de la situation des mal-logés ou de la manipulation politique sur l'identité nationale : « Ils balancent ce débat avant les élections. Tout le monde en a conscience mais (...) on leur sert la soupe, car c'est ce qu'ils veulent (...) Donc arrêtons d'en parler, et parlons de choses beaucoup plus sérieuses et beaucoup plus graves. »
[…]

Article à lire Notre petit déjeuner avec Eric Cantona dans le Nouvel Obs.

Eric Cantona publie, avec la Fondation L’abbé Pierre, un livre de photos sur les mal-logés qui s’appelle : Elle, lui et les autres. En librairie depuis le 3 Décembre.

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Le feu crépite,
langues rouges et langues d'or,
mèches bleues et mèches vertes.
La fumée monte
et le vent disperse dans la nuit
le parfum des châtaignes
qui grillent dans la poêle percée.
L'automne s'en va doucement,
chassé par les doigts glacés de l'hiver.
Autour du feu,
les vieux racontent
les veillées d'autrefois.

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       La Ballade de la mer salée se termine. Le vapeur va emporter Pandora vers l'Europe, et sa vie de jeune femme dans une grande famille Britannique. Corto, lui, retrouve son voilier qui va le mener sur tous les océans, à la recherche de l'Aventure.

       Elle est la seule, peut-être, qui lui ait inspiré le rêve d'une pause, d'un amour qui durerait davantage que le temps de quelques images.
Chacun repartira sur sa planète. Larmes coulant à l'intérieur de leur coeur.

Les visages tendus. Les yeux qui ne se lâchent plus...
-- Je ne viendrai pas avec vous, Corto Maltese !
-- Je sais !
Il accroche autour de son cou le collier de fleurs qu'il portait.
-- Adieu, Pandora !
-- Au revoir Corto Maltese !

La ballade de la mer salée, bande dessinée à lire et à relire.
Sans modération.
Merci, Monsieur Hugo Pratt !

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 Après quelques jours de douce grisaille, le soleil a repris possession du ciel. Étrange pays dont les arbres ne perdent pas leurs feuilles. Où l'herbe verdit entre les strates de pierre grise lorsqu'arrive le froid. Les arbouses ont mûri en force cette année. Boules rouges et orangées. Seules couleurs vives, éclatant dans ce décor que l'automne ne jaunit jamais.














Tu es loin, dans ta ville où les murs t'emprisonnent. Air gris, béton puant. La rame de métro traverse en sous sol des tranches de vie. Des pages d'histoires. L'air libre a un goût de gazole. Les mains tendues hurlent la misère sous les regards qui fuient. Tu rêves peut-être d'une île. De lumière et de beauté. Des couleurs de l'amour.

Morceaux de photos empruntés sur le web

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Mille cascades minuscules.
Un ciel bleu tenu bien haut
par les falaises arides
et les pics vertigineux.

La belle Aude
chante clair,
bulles blanches
entre les rocs et l'automne.

Elle slalome.
gris et jaune...
vert et roux.

Vienne la première gelée,
les bourrasques dures du Cers.
Long voyage vers la mer
entre l'hiver et le roc.
Elle emporte les couleurs,
et les berce au fil de l'eau.

.

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Les vignes sont parées

de feu, d’or et de sang.

J’ai volé aux oiseaux

une grappe dorée,

oubliée sous les feuilles

par la main impatiente

d’un vendangeur pressé.

Elle a le goût du miel,
de l’ambre, la couleur.

La fumée des sarments

qu’on détache des ceps

plane sur la garrigue

au gré du vent marin.

Le parfum de l’automne

flotte sur les Corbières.

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Avant dernier jour. La fatigue se fait sentir. Tout le monde est un peu tendu. Apprendre à travailler ensemble n'est pas simple.

Parfois des larmes. Mais le sourire revient vite. Le bonheur de construire ensemble un des nombreux projets qui sont présentés aujourd'hui.










Photos :
Concours de châteaux de sables du projet J'y eau limpiques
Tour de magie du projet Cirque

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Samedi 24. Vingt-six stagiaires stressés arrivent au village vacances Rives de Corbières, à Port Leucate.
















Lundi soir, ça va mieux ! Même les formatrices sont détendues...
On a ri aux larmes pendant la présentation des projets !

La semaine sera belle !

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   Un, deux, trois... les enfants se sont élancés vers la plage. Les goélands qui prenaient le soleil, les pattes au chaud dans le sable, ont eu la peur de leur vie en voyant débouler cette bandes de monstres hurlants et gesticulants.
   Ils se sont envolés en un long ruban et j'ai vu les enfants s'envoler à leur poursuite. Les accompagner dans un ciel d'une pureté extraordinaire, récemment lavé par l'orage. Jusqu'à ne plus faire qu'un vol d'ailes blanches et grises sur l'horizon.
   J'ai dû rêver. Qui sait ?


Photo école Célestin Freinet à Soyaux, en classes de mer sur l'île d'Oléron

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L’océan a croqué,

sans qu’on s’en aperçoive,

l’orange qui flottait

et ensanglanté le ciel.

 

L'ombre

déploie désormais
ses grandes ailes,

je ne vois plus tes yeux.

 

La lune enquête,

sa grande loupe en main

et cherche le coupable.

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L’automne est là.

Couleurs de
chrysanthèmes,

de feuilles mortes.

Parfums de sous-bois endormis.

 

Je rêve.

Hibiscus et eau tiède.

Cocotiers
tendant leurs palmes

vers les eaux turquoise,

penchés
sur le sable blanc,

respirant l’alizé.

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   20 milliards d'euros pour cette année, trente pour l'an prochain... le nouveau trou de la sécu n'en finit pas de s'approfondir ! Les Français seraient-ils encore entrain de creuser ? Non, point du tout, a dit le présentateur vedette de TF1 qui sait de quoi il cause, vu que son oreillette est directement branchée sur l'Elysée. C'est la faute à la crise ! Les cotisations sociales qui ne rentrent plus à cause du chômage.
   Certes, mais ça ce n'est qu'un petit trou de souris dans la meule de gruyère... alors comment a-t-on réussi à creuser ce puit sans fond ?
On a fait cadeau aux patrons de dizaines de milliards de charges sociales (qui auraient dû être compensées par l'état) depuis quelques années, et ça continue de plus belle. En particulier sur les bas salaires... ce qui fait qu'en plus, on a toujours davantage de smicards. Double bénef pour Parisot et sa bande du MEDEF.
    Tiens, il n'y a pas un Sarkozy dans la bande ? Un qui est aussi dans les assurances ? Et qui attend impatiemment, avec ses copains les rats des grandes compagnies, de pouvoir mettre en place leurs assurances maladie privées, à la manière américaine ?

image volée sur le blog de Hub, dessins d'actualiité

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