« Une fois de plus, les "grands" éditeurs ne prennent pas trop de risques et publient des traductions de best-sellers anglo-saxons », me suis-je dit en ouvrant ce livre…Un format moyen agréable à tenir en main, à la couverture qu'on remarque de loin sur la table du libraire.
Le titre original était beau Les villes de papier et a été conservé dans les différentes traductions, sauf … chez nous, bien sûr. Gallimard lui a préféré un titre qui accroche davantage ou a eu peur de La fille de papier de Musso…
Donc c’est avec un doute au fond de la tête que je l’ai ouvert et que j’ai commencé à le lire.
Pourtant, immédiatement, j’ai été happé par cette Margo qui apparaît à la fenêtre de son ami d’enfance un peu délaissé et l’entraîne au milieu de la nuit dans une folle aventure. C’est là que j’ai commencé à les aimer, Margo et Quentin… Et quand la jeune fille a disparu, je n’ai jamais douté qu’il la retrouverait.
Écriture sympa et vivante. Même si l’histoire se déroule aux USA, le décor n’est pas trop taillé dans « l’American way of life », ouf !
Quant à la fin… difficile d’en parler sans en dévoiler trop.