« Aujourd’hui, quand tu es jeune, tu as le choix, pour oublier la merde qui t’entoure et le désespoir qui te guette au détour de ton avenir : le cannabis ou l’alcool ». (Kevin, 17 ans)
Il est vrai que dépénaliser et encadrer la vente et le commerce de cette « herbe », casserait le trafic et l’économie souterraine qui en découle, permettrait de parler plus sereinement avec nos enfants, et accessoirement créerait des emplois et ferait rentrer des sous dans les caisses de l’état taxeur !
Mais ne faudrait-il pas s’interroger aussi sur les causes de l’augmentation de la consommation de ces drogues « douces » qui aident les jeunes à supporter la vie que nous leur avons préparée ? Quel avenir leur offre-t-on ? Comment leur rendre le sourire et l’envie de se battre pour construire un monde nouveau ?