Pendant que Nico et Carlita se prennent quelques jours de vacances bien mérités sur la côte mexicaine aux frais des contribuables (français ou mexicains, on ne sait pas trop...), le multinationales ne chôment pas. Et vas-y que je restructure, que je délocalise, que je ferme ton entreprise, que je te licencie !
Ouf ! enfin un bon prétexte pour virer tous ces fainéants de Français, d'Italiens, d'Espagnols, voire d'Allemands... Maintenant, au moins, personne ne va moufter !
Ce qui était impensable il y a un an, est devenu tout naturel. Ma pauvre dame, on fait ce qu'on peut ! C'est la crise !
L'an prochain, les actionnaires auront quelques % de plus.
Ce n'étaient que des bons à riens trop payés, tous ces salariés qui font la queue devant l'ANPE... qui n'a plus rien à leur offrir !