La pierre du sentier s’est fendue sous mes pas,
Le gouffre s’est ouvert, ta main m’a retenu.
Mais la terre voulait nous entraîner là-bas,
Dans un monde si beau, à nos yeux inconnu.
Je tombai en planant, émerveillé des roses
Qui bornaient l’horizon près d’un château ruiné.
En haut, sur le sentier, la roche s’était close,
Nous gardant prisonniers d’un paradis rêvé.
en écho à La pierre du sentier d'Azalaïs, la roche des Corbières