La pierre du sentier s’est fendue sous mes pas,
Le gouffre s’est ouvert, ta main m’a retenu.
Mais la terre voulait nous entraîner là-bas,
Dans un monde si beau, à nos yeux inconnu.
Je tombai en planant, émerveillé des roses
Qui bornaient l’horizon près d’un château ruiné.
En haut, sur le sentier, la roche s’était close,
Nous gardant prisonniers d’un paradis rêvé.
en écho à La pierre du sentier d'Azalaïs, la roche des Corbières
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Ptitsa* 03/04/2009 11:10
Oxygène 18/02/2009 10:51
Lee Rony 18/02/2009 10:01
ag86 18/02/2009 08:21
marleyne 18/02/2009 00:04